Je t'aime
von Michael Kuhrdt (mageku)

 


Je t'aime

C'est une vielle histoire. Quelque chose qui se passait avant longtemps.
Il, lui qui sait tous et est capable de changer le monde comme il veut, avait décidé, que ça suffit avec le dérangement et chaos dans l'espace.
Il prenait sa main devant sa bouche et soufflait six fois sa respiration dans l'univers.
Chaque fois que l'air échappe a sa poitrine, une puissante force était libérée et attendait de son ordination. Après il a fait son dernier souffle, il restait pour un instant parce que sa tête se tournait un peu. Même lui avait des moments où les efforts étaient presque trop.
Les forces, assemblées autour de lui, attendaient impatientes quand il soulèverait sa face.
>>Qu'est ce qu'il fait la?<<, chuchotait l'âme.
>>Est-il endormi? Il faut que nous faisons quelque chose.<<
>>Et rapidement!<<, soufflait l'esprit.
>>Nous n'avons pas du temps à perdre. Rien n'existe.<<
Elles arrachaient leurs regards de la lumière devant eux et jetaient un coup d'œil à l'arrière.
Nuit et tranquillité les embarrassaient comme dans un tombeau.
Et surtout flottaient des petits particules des poussière dans l'espace, sans mouvement.
>>Les vents et les lames<<, il commençait à parler.
>> Écoutent bien ce que je vais vous dire maintenant.
Parce que ça je vais dire seulement une fois. J'ai donné la vie à vous pour organiser tous à nouveau.<<
Il étendrait son bras et décrivait un cercle quand il se tournait autour de lui.
>>J'ai froid!<<, la force, qu'avait libérée la première, murmurait et poussait en avant.
Il ridait le front.
>>Chacune force de vous a une certaine capacité. <<, il recommençait à parler.
>> Et à cause de vos différentes habilités, vous pouvez créer des formes sans fin. Mais je veux qu'existe un équilibre. Et je ne veux pas un équilibre à les frais des faibles.
Si je remarque quelque chose comme ça, je viendrai moi-même et ferai justice.
Et vous savez ça veut dire?<<
Il arrêtait et regardait ses créations.
Où avant était du bruit et mouvement, maintenant le calme absolu reniait.
>>Commencent tout suite. J'ai besoin quelque chose pour mes yeux et mon cœur.<<
>>Si on devient vieux, rien d'autre reste.<<
Les derniers mots il soupirait imperceptible pour les autre. Avec un signe de tête, il les laissait commencer.

Immédiatement les forces allaient dans tout direction pour trouver travail. En même temps ils touchaient les particules. Et les particules touchaient l'autres et les faisaient tourner de son axe. Les plus grandes attiraient les moins grandes et après un certain temps il existait surtout dans l'univers des grandes balles de poussière, qui devenaient plus en plus compacts et plus en plus chauds.
Après elles avaient faites ça, les forces ressemblaient très content sur la place où il leur avait donné l'ordre.
>>Et maintenant?<<, demandait une.
>>Nous attendront le moment où on peu mettre un pied sur un des ces boules.<< répondait une autre.
Les autres inclinaient les tettes.
Longtemps ils volaient d' un ballon à l'autre pour voir quel serait le premier à refroidir, parce qu'elles s'ennuyaient énormément sans travail.
Quand une bille était près, tous se précipitaient sur la pauvre comme des loupes.
Relativement vite, l'eau créait les mers, les fleuves et la pluie. La terre soulevait le sol et les montagnes. L'air organisait l'atmosphère pour les autre choses à venir et le feu faisait les éruptions volcaniques, quelque chose complètement de trop .
Pendant leur travail, elles utilisaient une grand quantité de leur forces et devenait fatiguées, mais contentes.
>>Et nous?<<, l'esprit s'adressait à l'âme.
>>Nous sommes superflues, comme les créations du feu. Je crois, je vais faire un peu chaos pour m'amuser.<<
>>Calme-toi.<<, l'âme répondait.
>>Je crois que les activités du feu sont seulement inutiles le premier coup d'œil.
Ça ne serait pas en harmonie avec lui.
Nous entrerons en scène en part deux de ce spectacle.<<
Et ainsi se passait.
Après les autres forces avaient finies de édifier la scène, il restait le devoir de construire le reste du théâtre.
Toutes ensemble créaient la vie. Et pendant ce processus très pénible et laborieux leurs forces diminuaient de plus en plus.
Jusqu'à le moment où les acteurs qui commençaient les premières avec le travail, avaient laissés couler complètement leurs forces dans leurs ouvres et avaient disparues.
>>Oups!<<, criait l'esprit et tenait la main devant la bouche, comme elle aurait le hoquet.
>>Maintenant nous sommes seules sauf un tas croissant des petits idiots, qui ne savent rien.<<
>>Oui, ce dommage, que les autres ne sont plus là.<<
Quelques larmes scintillaient dans les yeux d'âme.
>>Mais regarde tous les belles choses autour de nous.<<
Avec tous les deux mains elle montre l'un après l'autre sur le soleil, les montagnes, les océans et les êtres vivants.
>>Elles sont là dedans et ainsi toujours autour de nous. Il ne faut jamais oublier ça.<<
L'esprit disait,>>Bien sûr!<<,
mais pensait,>>Passé est passé!<<.
Elles se séparaient pour élever les organismes.
Part trois du jeu a commencé.
Pas à pas, l'esprit donnait des petits choses un peu plus d'intelligence dans des formes nouveaux.
Il se mettait en travail dans les profondeurs de la mer.
Là, où il était chaud à cause des activités volcaniques et beaucoup des minéraux dans l'eau faisaient un goût fort sur le langue, l'esprit aimait à se baigner.
Quand il flottait sur le dos, il laissait grandir des bactéries et des algues. Quelque des eux avaientt la permission de monter à la surface, grandissaient plus là haute et ensuite rampaient sur terrain.
Chaque fois, l'esprit avait créé vie nouvelle, l'âme faisait l'essai de donner les êtres vivants une certaine conscience de leur existence. Mais ça ne marchait pas du tout. Tout les créatures de l'esprit étaient complètement content de se nourrir et se reproduire.
Le temps se passait et l'âme devenait désespérée.
>>Je ne sais plus quoi faire.<<, elle parlait avec soi-même.
>>Il n'existe pas esprit assez sur le globe, malgré des variations de vie énormes. S'il n'arrivait pas bientôt quelque chose extraordinaire, je vais déposer toute ma énergie á un moustique où un ver pour ne pas gaspiller totalement mon talent.<<

Mais le miracle arrivait.
D'une bête petite comme une musaraigne, il s'avait développé des êtres, qui vivaient sur les arbre en premier. Ils savaient de se nourrir et de grandir leurs jeunes avec beaucoup de succès.
Ainsi, parce qu' ils devenaient trop nombreux, ils descendaient des arbres pour chercher des nouvelles sources de nourriture.
La rivalité était énorme sur le sol. Et les bêtes des arbres devaient s'adapter pour ne pas mourir. Elles le faisaient avec une perfection et rapidité que l'esprit venait plus que une fois pour exprimer son surprise sur ces créatures.
>>Bête comme l'univers était noir avant nous, mais regarde leur combat pour ne pas décliner. Le résultat est qu'elles inventent outils en courant et s'élèvent sur les autres créatures. Et le meilleur, je n'y peut rien. Je seulement donnait le branle.<<
Après chaque transport de passion de cet genre, l'esprit
retourne à son travail.
>>Les autres me besoin jusqu'à la fin de leur vie.<<, était sa justification.
Après la forme spéciale avait arrivée à un certain standard, l'âme implantait dans leur cœurs un sentiment. Elle disait qu'elles ne sont pas seul sur le planète. Quelque chose supérieure les avait formée, les protège et les sanctionne.
Le foi était né.
>>Oui!<<, disait l'âme à lui-même, >>maintenant la chose me fait plaisir aussi.<<
Comparativement vite, elle réussissait de grandir un énorme variété des explications d'existence.
Autour du globe les différentes groupes des peuples honoraient plusieurs dieux locales à la recherche aux raisons pour les caprices du nature.
Plus tard, quelques régions se décidaient de poursuivre seulement un dieux.
>>Qu'est-ce que tu pense de ça?<<, l'âme demandait l'esprit la prochaine fois qu'elles se rencontraient.
>>Tu sais,<< répondait-il,
>>ils ne savaient rien. Une bonne possibilité de lui reprocher, pas plus.<<
L'esprit tournait et ne restait pas paresseux. Pour ne pas céder le terrain complètement à l'âme, il donnait d'autres d'explications possibles aux bêtes un peu supérieur au-dessous de lui.
La philosophie était née.
Pas rarement, le foi et la philosophie se mélangeaient.
Mais tout ça n'était pas le problème.
Quelques représentants de la vie intelligente croyaient d'avoir retrouvés le clé pour un meilleur vie.
Et pour laisser participer les moins intelligentes de leurs race à une découverte sensationnelle, ils leurs offraient premièrement de suivre cette acquisition.
Le deuxième pas était de le soumettre et de laisser payer.
>>Ah!<<, disait l'âme, quand elle voyait cette manière d'agir.
>>Si ce deuxième pas n'est pas le premier but.<<
Tous combattaient contre tous et l'âme ne le trouvait pas amusante.
>>Regarde les!<<, elle s'adressait à l'esprit le dernier fois avant elles le rencontreraient pour expliquer. Bien qu' il savait tous, il avait habitude de laisser justifier l'inculpé.
L'âme montrait à une région spéciale où plusieurs des religions essayaient de se détruire.
>> Les peuples là sont parents, dans leur sang et dans leur religion. Et ils se tuent. Tu les comprends?<<
>>Non, mais ce n'est pas nos problème. Nous les donnions la possibilité de faire tous, le bon et le mal. Si ils ont choisi le chemin dur, bon. On vais voir ce qui se passe.<<
L'esprit sifflait une mélodie populaire qui était en mode en moment et semblait d'avoir la tête ailleurs.
>>Idiot!<<, criait l'âme à son copain.
>>Ce sont nous qui avons crées tous ça. Nous avons la capacité de construire une monde, où le mal ne vainc pas le bon, où la beauté est préservée et lui qui veut la détruire, va être détruit lui-même.
Et n'oublie pas notre chef. Il ne lui plairai pas ce qu'il voit.<<
L'esprit avait chaud immédiatement le moment où l'âme le mentionnait.
>>Peut-être tu as raison.<<, l'esprit répondait pensif.
>>Quoi faire?<<
>>Il faut créer un équilibre, c'est qu'il disait. Chaque créature a le droit de se répandre aussi longtemps qu'elle ne dérange pas l'autre.<<
>>Quoi tu ne veux qu'on fait à toi, n'inflige pas à l'autre tas.
>>Allez! Mon petit poète. Il y a beaucoup de faire. Je ne veux pas lui rencontrer en mauvais humeur.<<
L'esprit donnait l'âme une poussière doux pour la empêcher de produire d'autre rimes. Quand elle avait commencée de composer de vers une fois, c'était difficile de l'arrêter.

Le prochain temps, les deux forces roulaient comme le vent par-dessus de la terre. Ils aidaient les uns et punissaient les autres. Mais le travail était dur et le temps rare.
>>Nous n'arriverons pas à finir avant le rencontre!<<
L'esprit restait essoufflé à coté de l'âme, qui était en train de régler un conflit entre deux villages. Ils étaient près de se tuer parce qu'ils ne se pouvaient pas s'entendre si le couleur du monde est orange où jaune.
>>Bien!<<
L'âme interrompait leur travail, mais tenait les coques querelleurs à l'œil.
>>L'autre tactique. Les cas les plus graves en premier.
Et si il reste du temps, nous essayerons de travailler aux autres.<<
Un peu soulagé, l'esprit reprenait son travail.
>> Ce simplement formidable d'avoir une sœur grande.<<
Quand le jour de rapport était arrivé, les deux arrivaient long temps en avant. Il savaient bien qu'il n'aimait pas si on le laisse attendre.
Justement quand ils se demandaient s'ils se trompaient du jour où du semaine, la lumière s'apparaissait et ils entendaient le dire.
>>Ah! Mes deux pommes des yeux! Mes mains et aussi, malheureusement, parfois mes deux furoncle.
Avez-vous quelque chose à me raconter?<<
Il aimait parler clairement.
>>Chef!<<, commençait l'esprit.
>>Nous deux,<< il montrait en même temps à lui et l'âme, >>ont essayés tous, mais le temps était trop court. Et...<<
>>Assez!<<
Il battait avec sa main sur un météorite qui éclatait contre un autre. Ensemble avec sa voix terrible se produisait un bruit énorme.
Les deux forces avaient l'air malheureuses.
>>Si on fait non-sens pendant de milliard des années, les temps devient rare pour réparer.
Je suis furieux. Ce que je vois, me ne plaît pas.
J'ai désiré un équilibre et vous aviez faites un jeu d'une chose très grave.<<
Il ne disait rien un moment pour avoir de l'effet sur les deux.
>>Vous savez la peine?<<
Les deux forces devenaient absolument calmes.
Le rien leur attendaient et il n'y a rien à parler de rien.
>>Vous savez, que je vous aime les deux. Et ce pourquoi je ne vais pas vous inspirer. Le passé était mauvais, le chemin vous avez pris pour la future est le vrai.<<
Les deux respiraient perceptiblement.
>>Va-t'en! Et vous savez, il n'y pas une prochaine fois.<<
C'était ses derniers mots avant il disparaissait.
L'âme et l'esprit se mettaient en travail.

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